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Écrire, tout un travail dans le travail
Révolution à bas bruit ? Dans l’entreprise, ou plus exactement hors de ses bureaux, télétravail et distanciel fabriquent une langue nouvelle.
Beaucoup d’échanges internes, auparavant portés par l’oralité, le sont désormais par les mails, SMS et messageries instantanées : le parler d’entreprise mute dans l’écrit. Et bute sur tout ce qu’une lecture contextualisée du moindre énoncé peut engendrer d’interprétations… donc de malentendus.
« Un changement qui s’accompagne d’une demande supplémentaire de formation », dit Le Monde dans cet article.
Car si l’écrit en entreprise est une pratique, écrire au travail, écrire au travail est une compétence. Professionnelle, et avant tout relationnelle.
Écrire, en effet, n’est pas seulement demander de l’attention pour obtenir quelque chose.
Écrire, c’est réunir.
C’est créer un accord de volonté.
À chaque mail sa part de contractuel.
Cette complexification des usages de l’écrit dans la diversité des organisations met en évidence une tension qui persiste.
Une entreprise, une équipe, a potentiellement autant de façon de se raconter que de salarié.e.s.
Comment concilier la nécessité d’un langage commun, et ce besoin que ressent chacun de dire et écrire son travail avec ses mots ? Comment chasser la “hantise du malentendu” pour laisser place à l’entente chorale ?
Ce sont des questions que Verbe Actif travaille à résoudre avec et pour ses clients.